Page:Luzel - Veillées bretonnes, Mauger, 1879.djvu/303

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— mes genoux se choquaient et mes jambes tremblaient.

« Et à présent encore, quand je songe il ce que j’ai vu, — mon cœur est saisi et ma langue paralysée ! » — Pendant ce récit, aucun fuseau ne tourne, — et tout le monde se presse autour du foyer.





FIN.