Fout la cousine outre mesure
Savonne triplement son con,
Puis, lui rabat le cotillon.
Après cette cérémonie,
Martine danse, étonne tous les yeux.
La commère, dit-on, n’en avait pas d’envie !
Cependant elle danse au mieux.
Martine entend ces propos de femelle :
Craignant encor pour son honneur,
Court à la source : — Ah ! mon cousin, dit-elle,
Mon honneur se découd, évitons ce malheur.
— Ma foi, dit le cousin, je ne sais plus qu’y faire,
— Je vous ai pourtant vu deux si gros pelotons…
— Je les garde pour d’autres cons.
Cherchez ailleurs qui fera votre affaire.
Mais, cousine, avouez qu’un cruel appétit
Dévore votre con, et recherche mon vit.
Toutes les filles sont charmantes ;
Mais le diable en foute les fentes,
Parbleu ! s’il faut s’écouillonner
Pour les approvisionner.