— Amen ; puisse ton vit combler de ses caresses.
Charmant époux, et mon con et mes fesses.
CONTE XXXII
Le Curé fustigé.
Le bon curé d’une chaste pucelle,
S’avisa de la convoiter ;
Et même osa proposer à la belle,
Un seul instant pour l’exploiter.
Le malheur fut qu’un galant du jeune âge,
La poursuivit en mariage,
Et que ce misérable époux
Se donna l’air d’être jaloux.
Le curé s’arme de hardiesse
Et se présente à la maison :
— Rappelle-toi de ta promesse.
Dit-il à la belle Lison :
Ton sot époux est à la ville,
Et je te crois très bonne fille ;
Entre nous deux, tu m’as promis
Que nos membres seraient unis.
— À propos, je me le rappelle :
Comment l’avez-vous entendu ?
De soi-même cela s’entend, ma belle.
— Curé, mettez votre nez dans mon cul,