Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/207

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_ Les ebrllovss. ses t SIXIEME OLYMPIQUE. ( i ` · rom: sciêsms *, ms ns sosuns, svnicusim, vmoumi ~ sil counsn . DIS CIA]! ATIILII DE IULITI. , • Comme un habite architecte décore le vestibule d‘un superbe palais de colonnes dorées, ainsi je veux orner d’un début brillant et pompeux l'hymne que je vais chan- ter; car s’il est un mortel qui joigne à la palme olym- pique l'houneur de présider à l’oracle de Jupiter', et le titre de Syracusain , sa gloire est au—dessus de tout éloge,. et impose silence à l’envie. Fils de Sostrate, apprends que tu es ce mortel fortune ’. La vraie vertu se montre dans les dangers; c'est celle du À pilote intrépide au fort de la tempête ; c‘cst celle du guer- rier courageux au milieu des combats: toute autre est fausse et méprisable. Les triomphes achetés par de grands « travaux sont les seuls qui restent gravés pour toujours dans la mémoire des hommes. ' N Il faut pour te louer , ô Agéslasl emprunter les paroles honorables et méritées qu‘Adraste prononça sur le fils d'(licléc, le devin Amphiaraüs, après que la terre l’eut . englouti, lui et ses superbes coursiers. Sept bûchem avaient cousumé les corps des guerriers qui, sous les éten- ` dards des sept chefs, étaient venus combattre et mourir ' Agèslas , tlls de Soslruta , etait de Syracuse. Sa victoire l la course du eh! sud de mulets n'n point de data précise; mais il est cumin qu'¤\|l est postérieure à favénement d‘Hiéron au tronc de Syracuse, puisque Pindarc dit dans I’ode qu'il lui adresse : mçcmaav si mi Opvqm; uv lswv utnpç onsrrç Susan. ' Agèsins était prèlre de l’oraclc de Jupiler tl 0lympi¢· ' bo tuto porta mais mou, gue le fils de Sourate sache qu'il a son pied divin dans cc soulier. 17 _\ l .