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Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/291

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rss Mzueemves. 277 umonsmiues, tes citoyens, n·ont·us pas remporté ies prix dans les jeux de là Grèce! Quatre couronnes obte- · nues sur le Parnasse, d la plaine; huit chez les Corinthiens, dans l’isthme de Pé- lops; sept à Némée, et un nombre infini dans leur pa- trie; aux jeux consacrés à Jupiter, attestent leur three et leur gloire. · Concitoyens de Tiinodême , célébrei par des chœurs et iles hymnes le maitre des immortels; célébrez le retour de votre héros; qu’à son arrivée tout retentîsse de vos chants mélodieux. · Y ¤@¤ Tno1s1EME NEMEENNE. vous Anrsrocmnn *, D'ÉGllIl, VHNQUIUR AU PAICKACL Mère du génie, Muse qui minspires des chants hurmo— nîeux , viens, je t’en supplie, dans Vhospitalière Égine , en ce mois consacré aux jeux de Némée; viens mêler ta " voix aux concerts mélodieux que des chœurs de jeunes , hommes font entendre prés des ondes de l`Asopus; ils brûlent d’împatience de t’entend1·e. Diverses chosesexcitent la soif de nos desirs; mais les yainqueurs aiment surtout les chants qui accompagnent leurs couronnes, et qui célèbrent leurs triomphes. lus- ‘ pire-moi donc, ô lille du roi toutgpuissant des cieux! fais qu’en commençant cet hymne brillant, les plus doux ac- cords coulent de ma bouche avec abondance. Je les ma- rierai à la voix et à la lyre des jeunes hommes qui chan- tent les louanges d’Aristoclide ; douce récompense de ses pénibles travaux. _ _i Aristoclide est l’ox nement de cette belle contrée qu’ha- 'Arisloclide, tlls dttrislophane, éit d’Ég|ne, l'une des Sporldcs, Iltuéc , entre Bpldwre et le Pirée. 26