Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/363

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< ` î mrwas. ata h «·Qu’il est digne d`envie, ô Endymion , ce sommeil éter- 1 nel qui ferme tes paupières! Heureux , femme adorée, , heureux Jasion! ll a obtenu ce que vous ne connaîtrez l jamais, profanes mortels! » p · la tête soutïre , mais tn n’y songes guère. Je ne chan- L terai plus. Je vais me coucher ici; les loups me dévore- ront., et ma mort te sera plus douce que le miel. IV. BERGERS. · Conversation entre doux bergers, qui , tout en foecapsnt de leurs ` troupeaux, ne vépargnent pas la médîsancc. - BATTUS , CORYDON. nsrrus. , Dis—moi, Corydon , à qui ces génisses ? A Philondas? commu. Non, à Egon qui m’a chargé de les conduire au pâturage. · . nirrus. Ne t’arrive-t-il jamais le soir de les traire en secret T conrnon. ' » Certes non; le vieillard met lui-même les petits sous leursmères , et a toujours l’œil ouvert sur moi. nrrus. Egon où est·ll allé? On ne le voit plus! Comment t tu Pignores? Milon l’a emmené sur les bords de l’Alphée. nxrrus. Où a-t—il donc vu un gymnase? , conrnon. _ On lui a persuadé qu‘il pourrait le disputer à Hercule I en force eten vigueur. ' nrrus. · la mère aussi me disait que j’étais un Pollux. conmon. ll a pris sabéche et emmené vingt brebis. 30 l L ·