Il rnbocniu. nmms. ex Aux champs fortunés ou le beau Milon pom ses pas, les chèvres et les brebis sont deux fois mères, l’abeille · remplit ses rayons d’un miel plus doux que le nectar, les ormenux lèvent plus fièrement leurs tetes altières; mais quand il msparalt, soudain pasteur, génisse, ormenux, tout se dessèche. · neuneu:. ex Epoux de ces chèvres blanches , chevresux au ne: êpatt, approches-vous de la source qu repose le beau Milon. Va, bélier écorné, db-lui que Protee, lsq d‘un¢ · sang divin, garda les troupeaux de Neptune. mmmus. « Je ne veux ni de votre empire de Péleps, ru de ses immenses richesses, ni devancer les vente à le course. Que les dieux m’accordent de gardermes brebis assit ` souscette roche, teserrsnt dans mes braswontemphnt au loin la mer de Sicile, et je suis heureux. urtusrovm. « L‘arbre craint les hivers , fêté tarit les ruisseaux, les oiseaux redoutent les filets, les rets arretent les cerfs ra~ pides, et l’amour d’une jeune vierge allume dans le 0(DDF . de fhomme unfeu qui le consume. Pèrcdes dieux et des r hommes , je n'ai point aimé seul; des mortelles t’ont vu sensible. n — Tele furent les chants des deux bergers. Menalque ter- mina par ces vers: _ « Epargne, loup cruel, épargne mes chevreanx et mes brebis fécondes : ne me blesse pas moi-mème; je suis jeune encore , et je guide un nombreux troupeau. « Lampuras, ô mon chien! quel sommeil appesantit tes yeux! Près d‘un berger d’nn âge si tendre , dois-tu ainsi te livrer au sommeil? s Et vous, ne craignez rien,-chères brebis; paissez en paix, broutez cette herbe tendre: dans peu d’instants elle va renaître plus belle. — . - i . l