Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/399

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iormzs. 385 . conso. ,_ llenreuses les ames sans corps! Praxinoé, quelle peine pour arriver ici l Je suis excédée. Partout des qusdriges , _ des gens à chlamyde, à bottines, des soldats nous les ar·· mes; partout une foule immense; et quel trajet! Tal oru n`at·river jamais. ‘ ` vnsxinoit. C'est mon imbécile de mari qui est venu me loger au · bout du monde, dans un antre plutôt que dans une mai- son; c’est pour nous séparer, je crois. Qu’il aime à me contrarier! Oh! c‘est ma mort que cet homme·là. conso. _ ~ x Ma chère, ne parle pas ainsi de ton mari devant cet enfant; vois comme il te regarde. ` rùsxluom Zéphyrion, mon lils, va, ce n’est pas de papa que je parle. . — — nemo. ‘ Par Proserpine! cet enfant comprendra., Il est beau, ton papa. ` — mnxmos. Dernièrement, comme on dit, son père dllait acheter du nitre et du fard pour moi, et ce grand génie m’¤pporte' du sel. _ como. · Mon mari Dioclidas , ce bourreau d’arg‘ent, tfeh fait pas ' d’autres. Il acheta hier sept draohmes cinq toisons , vrai poil de chien ,_ besaces en lambeaux, haillons pièce sur pièce. Mais prends ton voile et ta mnnte, et allons au palais du grand roi Ptolémée, voir la fête d’Adonis. on · m’a dit que la reine a préparé une pompe solennelle. rmxiüodi p ` ches les grands tout est grand. On conte ce quon voit à ceux qui n’ont rien vu. · ooxoo. _ · _ Il est temps de partir. Il est toujours fête pour les nanars; ( 33 I