Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/398

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ell rntocnirn. eml des Iuses; il sait connaitre un ami fidele et distin- · guet son ennemi.-ll est générem': aussi; jnmnls il ne refuse ch rendre un service, mais dvec cette sngsoité qui com _ vient à un grend roi; car, Esohino, il ne faut pas tout demander A un roi. ' Si tu oonsens donc il ettnoher avec une boucle te tuni— c n que sur l’épsule droite, et si tu ne le oonrsge de soutenir dlun pied "ferme le choc d'un soldat furieux, — vole en ” Egypte. ` (Pest par le front que ls vieillesse ennemie commence · IGI ravages; de ll, le temps, qui nous hlenchlt, ne glisse peu il pou sur nos joues. (Pest dans le jeunesse qu'il faut entreprendre de glorieux trnvsux. _ · l i xv. LES SYRACUSAINS, ou FETE D*ADoN1S. q L Gorge el Praxinoè s’ég¤ienl sur lli dolnpte de leurs merle; elles se roll- , dem ensuite le pslsls de Plûlémed, ot Aninee eélebrult la fete el’Ado- ‘ nis avec une gronde magnillcenee. Chemin feisïnt, les deux amies fcrllretiennenl des belles acllons du prince. Louanges d'Adonis chantées par une Arglenne. ’ üonttô, PKÀXINOÉ, Eoivôll ,_ UNE vmxnma, 1·* Éwnmoun, 2· làrnmcnn. ' · condo. · · Prsxlnoé estelle uu logis? BUNOM · Vous voici bien tard , chère Gorgol oui, elle y est. Mmxmoit. X Je sels émerveillée de te voir. Eunoa, donne un siege, msts·y un coussin. · eonoo. _ Il u'cst pas nécessaire. ' |*ÃÀXll·UÉs

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