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Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/401

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IDYLLES. 387 } conso. ‘ , Rassure·toi, Praxinoé, ils nous ont dépassés et sont déja ' près de la place d’armes. ' i Pnixmoii.

Enfin, je respire !_Le cheval et le froid serpent, voilà ce

I que j’ai toujours craint depuis mon enfance. Hàtons-nous, car la foule s’approche. · ` ' ’ , concu. - p La mère, venez-vous du palais? _ ' LA vmuu:. Oui, mes enfants. [ , conco. ' Peut-on entrer'! ' ` ri vmnu:. Avec du temps et des efforts les Grecs sont entrés dans Troie; avec des etforts et du temps on réussit toujours. conco. , L’oracle a prononcé; la vieille est déja loin. I rnixmoxt. · ' ` , Ces femmes savent tout, même comment au lit d’hy· , men Jupiter fut reçu par Junon. 1 conso. , Vois, Prarinoé, vois quelle foule sur la porte! Pnixmoé. · C’est à faire trembler. Gorgo, donne—moi la main; toi, Eunoa, prends celle d‘Entychidus , et tiens-toi bien à lui de peur de t’égarer. ljous entrerons tous ensemble ..... Eunoa, serre-toi près de nous ..... Ahciell mon manteau est déchiré. Que Jupiter vous soit propice, seigneur étran- ger; mais, je vous en prie, ménagez mon manteau. rnmuzn trnsucsn. Ce n’est guère en mon pouvoir, cependant je ferai de mon mieux. ' · 1>nAxu«0É. Quelle cohue! on nous presse comme des pourceanx.