Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/402

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l 308 · THÉOCRITE. · rnmunn nrnwcnn. Coul‘i1§<¤, hollo Syraousaine, vous voilà hors de danger. “ Plxaxlxol-5. Cénéreux étranger, qui avez pris soin de nous, puisse le bonheur vous accompagner aujourdhui et toujours!". Quel homme honuêteh., On étouffe, Eunoal... Allons, 4`erme, et tu passeras... Très-bien! Tout le monde est entré, comme dit l'époux quand il ferme le verrou sur la mariée. · · conso. ‘ _ Approche, Praxinoé, vois cette tapisseïîei €l\1’oll<?,oSt belle! que ces tissus sont fins! on dirait I’ouvrage des dieux. I muxiuolâ. Auguste Minervël quelles mains ont tissé ses ouvra- ges? Quels artistes ont peint ces tïgures? on les croit voir marcher! Ce ne sont pas des peintures, mais des êtres vivants! Combien l’homme a d’espritl comme il est ad- mirable, là, couché sur ce beau lit d‘argent et les joues embellies d’un tendre duvet, le trop aimable Adonis, aimé même aux enfers! ' nnuxmms iérnmcnn. Paix donc, bavardes impitoyables, qui roucoulez comme des tourterelles vos syllabes traînantes. ' , , conso. , Par Tellus! d‘où sortez—vous done, ’l’ami‘! Que vous importe notre babil? Commandez à vos esclaves. Vou- driez-vous par hasard dicter vos lois à des Syracusaines? Sachez que nous sommes Corînthiennes d’origlne, aussi bien que l‘illustre Bellérophon, et _que nous parlons la langue du Péloponèse. Eh bien! défendez—vous à des Doriennes de parler (lorien? V · . rlulxmot. · 0 Proserpine! garde-nous d’un nouveau maitre; un seul nous suffit, Mon ami, sachez que je ne vous crains i PM, X `