Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/438

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stélalwcut dans la plaine pour tondre sur les iF9*lP°@\l¥n ils se précipitent les premiers ii leur reuooutret et leur présentent la combat. Uhorribloe mugiesements annon- cent leur colère, et leurs roux enflammés resniroot la mort- L’un deux, nommé ilheétop, remporte sur tousles _;utrell en taille, en three et en audace; tous les pasteur; le comparent ai une étoile ardente, tout il se distinsue oo= tre ses ecmnacuoml par sa démarche eltière et se tnor= veilleuse beaute

A la vue de le peau du lion. il fond sur Alcide pour lui percer le ilanc de son front vigoureux; mais le héros eat sur ses Seules t il saisit d’ulle main robuste le corne gauche du taureau. lui tourne le tete vers le sol malgre ses t efforts, appuie fortement le genou sur son épaule, le re·~ t pousse. et l’aniru¤l irrité sedrerse tout entier sur scsiers l rois nerveux, Le roi des Encens, Phïlée son belliqueux i . tits, tous les porteurs qui étaient présents. edmirerent la force prodigieuse du ûls d‘Amphitrynn.

Cependant Hercule et Phylée · quittèrent ces fertile; campagnes et cheminèrent vera la ville, Ils suivirent d’abord un étroit sentier qui se prolongeait depuis la bergerie à travers les vignes, et •lu’ou découvrait à peine au milieu des feuilles et des pampres dont il était couvert, et arrivèrent sur le graude_route· Là les tits bien aimé d’Augiaq, inclinant un peu la tête sur son épaule droite, adressa ces paroles au fils du puissant Jupiter qui marchait derrière lui: "

et Étranger, cest de toi sans doute qu j'ai déja entendu parler, Un Grec de la maritime Hélicé vint d’Argus en ces · lieux; il était à la fleur de l'âge, et m’¤pprit devant plusieure Epéens, qu’un Grec avait tué en sa présence un lion monstrueux qui désolait tout le pays. et dont la noire retraite était dans la forêt de Némee consacrée au puissant Jupiter lienore, oioutaitdl, si ce héros est né à Argos, s'il habite Tyrinthe ou Mycène; mais si ma mémoire est fidèler il le disait issu du noble sang de Persée. Je ne