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Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/441

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tel le lion Hide tio mon MM sfélanee eur mah Alors le bras enveloppé de men manteau, d’une main je lui prer sente une tlèehe, et de Feutre levlllë me massue. je la foie tomber avec force sur son noni. Le lounge olivier. malgré sa dureté, oe hrise ou deux éclats sur le créee d’eirein’de cette hôte intlûmpiîhltüt Le monstre allait tom drt? sur moi. déie Ser pieds ne touchaient plu• la terres mais il oheuoèle et tombe, tent e été terrible le coup qui · n ébranlé Se tète, et un nneae épais ee répand sur ses yeux.

À e Le voyant etonrdi par la rem de u eeexem-, jejeth à terre mon ere et mon ealvuoie. et. sans lui donner le mrs de reprendre ses eu>#¤. iearélence un loir •i‘nne main vigeure\¤oi’étreies son cou par derrière. dans le crainte qn’il ne me déchire avee ses uritïee; je presse ses pieds sous mes pieds , mes cuisses eoxnprirnont ae; lianes,

 Qtltlltïillüîlt wit êwmle tete et See pieds de devant, je

lui arrache la vie, et l’ent`e1‘ vit son âme lliilellltà WG eur ses sornhreshords.

rt Bientôt je eherchai le moyenne le dépouiller de au tiuro peau; entreprise pénible , CRI? ui le fer, ni le C0iD` l ni la pierre ne pouvaient Fenteuler. Dane Ce lllomoftt un . l dieu xninspira la purée de me servir des gritïee memo; l du lion pour le déchirer. Je réussis, farraehai oeeuirplnq p dur que le fer, j’en eouvris mes épaules et m’en tie une armure impénétrable aux traits homicides dûe Gllûellül.

« Telle fut, ami , la tin du tenihlelion de Némée, qui pendant si longtemps avait fait un carnage atlreux d’hom· Q mee et de troupeaux- »

xxvi. LES BACCHANTES.

Ein tragique de Fenthée, roi de Thèbes, déchiré par sa propn mère low que, caché sons un lentisquc, il coulemplnit d’un œil curieux les orgies des Bacchantes.

Ino, Autonoé et la belle Agavé guidaient toutes troie sur le montagne troie chœulitt tie Bwëhanteq. Arrachant