Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/455

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Érirarnns. 451 xv. sua 'l`llÉQCl'tI'l`E` wi-uàus. ll est un autre Théocrite de Chios. Moi, je suis le Théo- crite de Syracuse, auteur de ce livre, Iils de Praxagoras et de l’illustre Philina. Jamais je ne me suis paré des dé- pouilles d'autrui. ‘ xvi. sun LA csiufnosrrn ma csicvs. Cette table est ouverte à tous, étrangers ou citoyens. Pour _le rang, que la raison en soit juge. Les autres choi- sissent leurs convives : Caîcus otl`re, la nuit même, à tous ceux qui en desirent, les riches produits que lui envoient les climats divers. ` ` A , , Evirsrucs. I 1. srrrzu-ne on estonien. ` Homme, si tu chéris la vie, ne t’expose pas sur les tlots pendant la saison des tempêtes, car la vie de l'homme est bien courte 1 Infortuné Cléonice, tu te hàtais de porter, du , fond dela Célésyrie, tes marchandises à l’opulente ville de Thase ettu traversais les mers au déclin des Pléiades. Nau- t tonier malheureux, tu t’es couché avec elles. l 11. sn>rr.u>¤n ifoarnon. ` Étranger, le Syracusain Orthon te recommande de ne jamais te laisser surprendre ivre dans les chemins par les nuits d’hiver : telle a été la cause de ma mort, et au lieu d’êt1:e inhumé dans une belle patrie, une terreétrangère couvre ma dépouille. i nu. m>mi>ns n'uu nina. Homme jménage ta vic et ne t’expose pas à la mer pen- dant la saison des tempêtes: les jours de l'homme sont si courts!