Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/454

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l un · rusoonms. , tous les ans vous ajoutez A leur bonheur. Ils prosperent toujours, les mortels qui bonorent les dieux. ' I xl. pour LA snrus oümacnson. Etranger, llxe attentivement tes yeux sur cette statue, et, de retour chez toi, tu diras: c J'ai vu dans Téosla sta- · tue d’Anacré0n, le plus brillant poete de l'antiquité. » Ajoute : « Et le plus grand ami de la jeunesse , » et en ce peu de mots tu auras dépeint cet homme illustre. . xu. son imciumiws. Eplcharmus, inventeur de la comédie, était Dorien, et 0‘est en Dorieii q\1'll a écrit. 0 Bacchus! en Pahsence du poete, les Syracusaltis, einpressés de lui rendre leurs hom- mages, lui ont élevé une statue d’ail‘aln dans leur ville cé- lèbre. ll fit un noble usage de ses grandes richesses, et donna àgla jeunesse dexcellents avis. Rendons-lui grace de ses bienfaits xm. rotin LA`s·rA·rult n‘Anc¤lL0uUs. I b Voyageur, arrête et considère Archlloque, ce poète an- cien qui inventa le vers ïamblque et dont la juste renommée l a pénétré du couchant a l’aurore. Apollon et les Muses p l’aimêrent d‘amour tendre. ll était aussi harmonieux dans , . , A l ses vers qu habile a les chanter sur sa lyre. xiv. norm LA snrus nnrissunns, h · l Auteur d’un poeme sur Hercule. g Voile Pisandre de Camire—, qui, le premier des anciens, chanta le magnanime fils de Jupiter, vainqueur du lion de Némée, et ses glorieux travaux. Le peuple de Sy- racuse lui a élevé cette statue d’airain pour rendre son nem célèbre dans tous lesâges.