Aller au contenu

Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/561

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

EXTRAITS. M7 nos ancêtres: nous n'avons plus à nous inquéter de nos repas, nous allons jouir enfin sans peine des doux pré-

  • sents de Cérès.

nr. son :.1-:s vowrrvrvx. De Lucien. ` 'l'héron , fils de Ménippe, avait dépensé dans sa jeunesse tout son patrimoine à des jouissances infames. Euctémon, ami de son père, le voyant tourmenté par une extrême détresse, l'accueillit avec bonté et le maria avec sa fille en lui donnant une dot considérable. Mais à peine Théron fut-il enrichi contre son espérance, qu`il recommença ses premières folies. Il ne se refusa la volupté d’aucun des plaisirs les plus honteux, en sorte que les eaux dévoran- tes de la pauvreté Pentrainèrent de nouveau. Alors Eucté- mon se mit à gémir non sur lui, mais sur la dot et sur le mariage de sa fille; et il reconnut que celui qui a abusé de ses propres richesses ne peut pas être prudent pour celles autres. ` rv. sun LA vin nuusme. D'Archias. Il faut louer les Thraces qui pleurent sur les nouveau- nés sortant du ventre de leur mère; mais ils disent': c Bienheureux ceux qui abandonnent la vie ct qui obéis- sent aux ordres de la Mort, cette messagère impitoyable. Les premiers ont trouvé dans la vie des traverses de toute espèce; les seconds au contraire ont trouvé dans la mort le remède à tous les maux. v, sim ns vis nomme. De Pasidippe selon les uns, de Cralès le cynique suivant d’aulres. _

  • Voulez-vous savoir quel sentier nous suivons dans la

vie T Au forum les procès et les contestations désagréables;