Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/562

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us i.’Au1‘HOI.0Gm. dsnsnosnnisons, les¤oinsdomesüques;damlescl;•mps, du Éfiïllll sans nombre; sur la mer, la frayeur; en voyage , une crainte perpétuelle si vous possédez quelque chose , de la gene si vous n’avez rien. Marié , vous ne serez pas sans inquiétude; n’avez-vous pas de compane, vous vivez dans une triste solitude; les enfants engendrent des travaux; vivre sans enfants, c‘est être mutilé. Lajeu— nesse est irrétléchie, la vieillesse est infirme. Ah! i’on devrait bien choisir l’une de ces deux choses , Ou ne vivre jamais, ou mourir dès qu’on a vu le jour. vi. rsruasss se ulnonu. 4 De Pallal. Je suis venu sur la terre nu, et je retournerai nu dans la terre. A quoi bon travailler inutilement, puisque ïarri- verni nu A la fin de toutes choses? ` vu. mâsur nas cnosrs nunmurs. Tout est dérision , tout est poussière,_t0ut est tien, ca: c’est du hasard qu‘est né tout ce qui est. ' vm. rwsrnssn ma Unomua. - · D'un inconnu. 0 homme plus malheureux que les animaux, tu es bai de toutes choses; toutes sont liguées contre toi. Partout la mort t’attend. Tenfuis-tu sur la terre, le loup est là; montes-tu sur un arbre, un aspic est caché sous les bran- ches; te hasardes—tu sur le Nil, dans l’abîme un croco- dile tc menace, bête terrible et juste pour les impies. b rx. sun zi: manon. · D’un inconnu. · Après une première épreuve, se hasarder à un second mariage, c’ost naviguer une seconde fois sur une mer ' profonde et dangereuse. _