Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/574

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

660 — |.’AN't|·IOI.0GiE. éléphant, fut tout à coup renversé. Blessé au talon , et croyant le mal mortel : « 0 enviel s’écria-t-il , c’est ainsi que sur de rapides coursiers est déja mort Phaéton, » 4 ` l .Lxv. son LE umna sumr. l , Du méme. Chérémon, soulevé par le vent et plus léger qu’un palet, nageaitadans l’éthcr. Il eût pénétré plus avant . encore dans les nuages s’il ne se fût embarrassé les pieds dans une toile d’araignée. Il resta là suspendu pendant cinq jours et cinq nuits; le sixième jour il eut le bonheur de descendre par un fil d'araignée. Lxvi. son Las ronrns. A De Pallas. C’est la folie qui te fait poete bien plus que la Muse : — aussi écris—tu beaucoup de choses téméraires. Iais écris, p écris toujours. Je ne peux pas te souhaiter une plus grande folie que celle-là. · . Lxvu. son ma urbana sumr. p A De Lucilius. Ni lfeau débordée au temps de Deucalion, ni Phaéton dévorant par la llamme ceux qui habitaient la terre, n‘ont tué autant d’hommes que le poëte Potamon et le chirurgien Hermogènes; en sorte qu’on peut dire que lo temps a été partagé entre quatre fléaux : Deucalion, Phaéton, Potamon et Hermogènes. Lxvm. sua ou uécumr. D’Ammien. Que la terre tc soit légère comme de la cendre , à infame Néarche, pour que les chiens tedéterrent plus p facilement. _ l x l