Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/575

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`l EXTBMTti· , . WI Lxix; svn LE vu!. De Macèdonius. J’étais malade; mon médecin, en véritable ennemi, me t défendait de boire le vin pétillant de la coupe; il me· conseillait de boire de l’eau; mais en vain, je n’avais pas oublié qu’Homere nous dit que le vin fait la force de l'h0mme. \ , ' , LX:. SUR UN Aven!. _ Vim inconnu. · l On te dit riche, Apallophane; moi, je prétends que tu « es pauvre : on ne prouve les richesses qu’en s'en servant. Si tu en jouis, elles fappartiennent; situ les gardes pour * tes héritiers , elles deviennent la propriété d’autrui. ` Lxxi. son un imm sumr. Ds Luclilus. ` L’avare Hermoerate, mourant, ¤'ét¤it institué dans son testament son propre héritier. Etendu sur son lit, il calculait combien il lui en coûterait dans si maladie, et combien , lors de sa convalescence, il lui faudrait donner au médecin ; quand il vit que se soigner lui reviendrait à une drachme plus cher : « Il vaut mieux mourir », dit-il; et il mourut. ll gisait BUT son grabat comme un · mendiant n‘ayant qu‘une obole. Mais ses héritiers ravis · eurent bien trouverusoë richesses. Lxxn. svn ni: amis sumr. Dc Pallas. · Tu as les richesses d’un homme opulent, mais l’ame | . _ . . . . , d un pauvre . oh! que tu cs riche pour tes héritiers, mais que tu es pauvre pour toi—m(-ème ! V A