Aller au contenu

Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/578

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

M4 i.'AN*ru0i.ooin. 1 Lxxxw. SUR LA iron? ms Vrotéutn. bvmupncr smonms. ° i Ton père et ta mère, 6 Ptolémée! désespérés de ta é mort, se sont arraché les cheveux; ta nourrice éplorée a ” jeté sur sa chevelure une noire poussière. Toute l‘Egy-ptg, couverte d`un vetement de deuil, s’est rasé la tête , et la é large maison de l`Europea poussé un profond gémisse- , ment. La lune, obscurcle parla douleur, a abandonné les

  • · astres et les routes célestes. Tu as succombé a la peste ,

cette dévastatrice de la terre, avant que ta jeune main reçût de tes parents le sceptre royal; la nuit éternelle ne t’a pas englouti, toi qul mourus pendant la nuit; ear ce n’est pas l’enfer qui reçoit des princes tels que toi, c’est Jupiter qui les conduit lui-même dans le ciel. Lxxxv. sur mman. Julien repose ici ourlet bords du Tigre rapide. ll mt à la fois hndi oomhnüantot bon roi. LXXXVI. son ns uonr n’im nurmr. , De Lucien. J’avais cinq ans, l’esprit gai,et nom Callimaque; la ` mort lncxorable m’atteignit. Ne me pleure pas: j’ai en une vie courte, fl est vrai, mais aussi j‘en ai peu connu les maux. _ Lxxxvu. son LE imm sonar. . D’un inconnu. ` Mort cruelle! pourquoi frapper Calleschus, un si jeune enfant! Dans la maison de Proserpîne cc ne sera qu‘uu petit enfant joueur, tandis qu’il laisse au foyer de sa mère des douleurs inconsolables. i