Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/596

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l M! UANTHOLOGIE. h cnxvu. sun LE IÈIE suer. De Philippe. Junon voulait voir dépouillé de ses armes Paudacieux l Hercule, vainqueur dans tous les combats. Où donc est p maintenant sa peau de lion, et sa tlèche si rapide suspen- due à son épaule, et sa lourde massue qui écrasait les bêtes sauvages ? L’Am0ur l’a dépouillé de tout. ll n’est pas étonnant que, ayant fait de Jupiter un cygne, il ait privé Hercule de ses armes. u cnxvm. sun une srarun ou cnnrwnn cnmon. D’un inconnu. Sans les pieds, je suis un homme, et sans la tète , un cheval. . . ctxrx. sun nur snrun DÃLEXANDKE. D'Archelaüs selon quelques uns, d’Asclép|ade seloud’aulres. Lysippe a bien rendu l’audace et toute la forme d’A- lexandre. Quelle force n’a pas cet airain! Il parle; et, regardant le ciel, il s’écrie : A moi la terre! toi, Jupiter, tu gardes l'0lympe. l , 01.xx. sun LE imm sumr. D’un Inconnu. _ U Vois cet Alexandre , fils du magnanîme Philippe , illustre héros que jadis enfanta sa mère Olympias. Après sa nais- sance, Mars lui—même lui enseigna la guerre; et la For- tune le créa pour le commandement. chxxx. sun LE nmornuan. l _ ' D’un inconnu. 1 Enfant et taureau, incomplet de toute manière , lœll- \ sateur du crime de sa mère, double nature, homme mêlé avec la bête, taureau par le front, corps ompeur, ni en- tièrement bœuf, ni entièrement homme. • l l l