Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/602

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III UAITÈIÉE. _ _ crm. son mvnma. D’¤6|iode (tirée du Scoliaste de Thèocrite). Combien est insensé l‘homme qui, dédaignant ce qui est à ses côtés , vn rechercher ce qui est loin de luil cxcv. sun LA ritrt FILIALE. Diédoh (tirée du seolianudo ttteandrs). Il faut que tu sois un mouton pour ton père. cxcvx. sun mns mcnnssns. De Sappho. x Les richesses sans la vertu ne sont jamais à l’abri du reproche : mais réunir la vertu et les richesses, voilà le comble du bonheur. exam. wi Lus xmtsturrt. D’Hèsiode (extraite de Suidas). Les présents permanent les dieux, les prénents persua- dant lot rois vtnénblos. calvin. WI UN ABOU!. De Platon. Voyant ce petit dieu ailé , Jupiter brisa sa foudre , mon- trant par là que la ilammû dû l`Amour était plus puis- sante que sa flamme céleste. cxcix. son un ronrnn nn P\‘!'llAGOB!. (Pest le portrait de Pythagore : tu l’aurais vu parlant si Pythagore eût voulu y consentir.