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UN BILINGUE SOGDIEN-CHINOIS
traire, l’existence de l’un d’eux en une rédaction sogdienne nous amène à nous demander si ces « sûtras apocryphes » ne représentent pas en partie une littérature bouddhique qui, sans originaux hindous, se serait spontanément développée dans les premiers siècles de notre ère chez les bouddhistes de l’Asie Centrale.
P. Pelliot.