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DE CORA PEARL

» Pas de signatures, rien. Je ne sais d’ou cela peut me venir.

» A. de Burnel.. »


« Je dine avec V. et son fils à l’hôtel, puis nous irons voir une férie à Covent-Garden (Babil and Bijoux). Comme je vais penser à toi. Il me semblent te voir dans ton avant-scène du Gymnase, les lorgnettes braquer sur ta jolie tête.

» A. de Burnel.. »


« Que vœus-tu ? Je trouve que je ne t’écris pas assez. Je viens de terminé ma première lettre, dans laquelle je te parle de mes affaire, mais je suis si heureux de pouvoir t’écrire et te répété que ton Auguste t’aime et te chérie, et qu’il ne reviendra pas les mains vide. Penses que je t’adore à la folie. Mon cœur souffre bien ce soir. Allons, à bientôt. Nous aurons bien mérité d’être heureux. Soie bien sage.

» A. de Burnel.. »


« Je souffre tant de notre séparation ! qui