On a observé le temps que la surface de ce fluide, échauffé à différens degrés, a employé à s’abaisser entre les deux traits horizontaux que porte la paroi extérieure du réservoir ; c’est-à-dire, comme dans l’expérience précédente, le temps de l’écoulement d’un volume de de litre.
Les résultats de ces observations sont indiqués dans le tableau suivant :
NUMÉROS des expériences. |
DEGRÉS du thermomètre. |
DURÉE en secondes de chaque expérience. |
VALEURS du coefficient b. |
1. | 65. | 79. | 0,005471. |
2. | » | 80. | |
3. | » | 81. | |
4. | » | 81. | |
5. | » | 81. | |
6. | 14. | 80. |
On voit que, pendant la première observation de ce tableau, la température a été de 65 degrés et la durée de l’écoulement de 79 secondes ; nous venions de trouver cette durée de 80 secondes, lorsque la température était à 10 degrés. Ces durées ne diffèrent par conséquent entre elles que d’une seconde pour un intervalle thermométrique de 55 degrés.
Afin d’obtenir des résultats applicables aux températures intermédiaires, nous avons remis dans le réservoir cylindrique, sans le faire chauffer de nouveau, le mercure qui