vitesse propre des points du fluide est normale à la surface de l’onde mobile. En considérant comme le rayon de l’onde transmise, nous voyons aussi, par l’équation (9), que ce rayon et le rayon de l’onde directe qui se croisent au même point de la surface de séparation des deux fluides, font avec sa normale, des angles et dont les sinus sont entre eux dans un rapport constant, égal à celui des vitesses et dans les deux fluides ; résultat qui s’accorde avec la loi de la réfraction ordinaire de la lumière.
(26) Je représente par l’intensité de l’ébranlement qui a lieu au point de l’onde transmise et qui sera mesurée, comme précédemment, par la somme des forces vives prise dans toute l’épaisseur de l’onde. En désignant par la densité naturelle du fluide inférieur, et observant qu’on a nous aurons
Je néglige la dilatation et je mets dans l’expression de donnée par la première équation (8), et à la place de et et pour sa valeur précédente ; il en résulte
étant la même quantité que dans le no 22. Comme on a fait abstraction des variations de température qui accompagnent les dilatations et des deux fluides (no 1), leurs densités et sont en raison inverse des carrés des vitesses de propagation et on a donc