Un second Mémoire de M. Despretz a pour objet la chaleur développée dans la combustion du carbone, de l’hydrogène, du phosphore et de plusieurs métaux.
Le calorimètre employé par l’auteur est analogue à celui du comte de Rumford : il en diffère cependant en ce qu’il peut servir à la combustion d’un corps quelconque, et en ce que le corps étant enveloppé d’eau de toutes parts, il n’y a pas de perte occasionée par le rayonnement.
Chaleur dégagée pour un gramme d’oxigène absorbé.
Le zinc, l’étain, développent des quantités de chaleur peu différentes de celles que développe le fer.
Il est remarquable que le charbon, qui ne change pas le volume du gaz oxigène en brûlant, dégage les 23 de chaleur rendue libre par le fer, qui réduit ce gaz à l’état solide.
Dans un troisième Mémoire, l’auteur montre que la quan-