nexions. Le rupéal d’en-bas suit constamment les grandes ailes, et le rupéal d’en-haut précède toujours l’occipital supérieur. Ainsi ce second rupéal appartient au tronçon terminal, et le premier au tronçon immédiatement antérieur.
Dans les ovipares, chez lesquels le cerveau perd de son volume en largeur pour s’étendre dans l’autre dimension, et par conséquent chez lesquels, les os qui servent de ceinture à l’encéphale en suivent les révolutions et se prolongent davantage dans le sens de la longueur, les rupeaux accompagnent ceux de ces os qui les avoisinent, en même temps qu’ils se tiennent à portée l’un de l’autre : le pré-rupéal se porte un peu en devant, et le post-rupéal un peu en arrière : ils chevauchent l’un à l’égard de l’autre, toutefois sans manquer de conserver leurs relations mutuelles, de composer ensemble une commune cavité rochéenne. Mais sous cette autre influence, ils ne sont plus superposés bord contre bord. Le post-rupéal, formant le sommet, est quelquefois (et c’est ainsi dans le crocodile) à une certaine distance en hauteur du pré-rupéal. Or, une telle pièce ne reste point en l’air, et l’appui qu’elle ne trouve plus d’abord vers le bas, elle l’acquiert en arrière, c’est-à-dire à la région occipitale. Soudée d’origine de cette manière, la seconde pièce n’est plus retrouvéé en ce lieu que par la théorie ; en effet, l’analogie la montre bien certainement, dès que je puis citer des faits de cet ordre, où personne ne saurait être admis à s’écrier que c’est une simple hypothèse à priori.
Dans l’homme, avant qu’il se soit encastré avec les parties qui l’entourent, l’ethmoïde se compose du corps ethmoïdal et des cornets supérieurs. Chez le veau, dans un âge correspondant, le corps ethmoidal est soudé en ar-
