physes se joignant du temporal et du pariétal, quand ce même relief Z, no 21, reste une surface dégagée, et faisant partie du plancher extérieur du crâne : cela résulte de ce que le pariétal n’avance point assez dans le crocodilus sclerops pour se poser en ce lieu au moyen d’une lame prolongée.
Les ailes de l’inter-pariétal k, k, du crocodile à lunettes, au lieu de s’étendre comme chez le gavial, sont ramassées, épaisses et arrondies, recevant et soutenant efficacement les temporaux, qui leur sont superposés, fig. 21 ; ou bien elles se trouvent formées de nombreuses scissures, fig. 20, pour servir à leur articulation avec les ex-occipitaux. Tout l’ensemble de la pièce est très-robuste et fait l’effet d’une clef de voûte à l’arrière-crâne. Les bords dd sont ici, aussi bien que dans les fig. 16 et 22, les orifices de communication du pariétal à la caisse tympanique médiane ; et la courbe, marquée fi, if, forme un biseau terminal à la portion de la boîte crânienne, qui recouvre les lobes optiques. Dans la pièce retournée, no 20, une autre courbe h, e, h, constitue le bord du bandeau situé au-dessus du cervelet.
Enfin les lignes avancées h, h, fig. 20, sont les extrémités, vues de profil, du limaçon. (Voy. h, h, fig. 23.)
4o Objets des fig. 17, 18 et 19, représentés d’après le crocodile à museau de brochet (crocodilus lucius).
De la pièce Z, fig. 17. Ce premier sujet, no 17, a été dessiné sous le même aspect que ceux décrits et employés plus haut sous les nos16, 21 et 22 ; seulement il a été augmenté, sur la droite, de l’os antérieur et contigu Q, c’est-à-dire du pré-rupéal. Je cherche dans cette nouvelle forme, représentant la face supérieure de la pièce, quelque chose qui soit en
