Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 12.djvu/290

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ne connaissait pas encore, ni personne avant lui, le phosphate ; ni comment il était formé, car il n’aurait pas manqué de lui attribuer l’induration de notre corps et de ses diverses parties, qui a lieu à proportion que nous vivons.

Je me propose de donner un second Mémoire sur la goutte, dans lequel je traiterai de ses accès, de leurs intervalles, ainsi que de leurs redoublements, avec exacerbation ou avec prostration des forces, lesquels existent réellement, comme dans les fièvres qui sont continues, rémittentes et intermittentes.

Je parlerai ensuite des diverses espèces de goutte, en différents articles, pour en mieux prescrire le traitement.