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du Faubourg-Poissonnière, no 99, du Mail, et des Colonnes près le théâtre Feydeau.

Une autre maison de bains s’éleva en 1820, dans la rue Tiquetonne.

Deux autres, en 1821, dans les rues Saint-Louis, au Marais, et du faubourg Montmartre, no 10.

On vit se former, en 1823, cinq nouveaux établissements de bains dans les rues de Vendôme, de Bondy, du faubourg Saint-Antoine, du Bouloy et du cloître Saint-Jacques de l’Hôpital.

Quatre autres s’ouvrirent en 1824, rue des Fossés-Saint-Bernard, rue de Beaujolais, rue Saint-Lazare, et rue du faubourg Montmartre, no 18.

Il s’en forma de nouveau six autres en 1825, dans la Vieille-Rue et sur le boulevart du Temple, dans les rues Neuve-Saint-Jean, Notre-Dame-des-Victoires, des Boucheries-Saint-Honoré, et Croix-des-Petits-Champs.

En 1826, le nombre de ces établissements s’accrut encore de cinq ; ils se formèrent dans les rues Saint-Martin, no 112, et du faubourg Saint-Antoine, no 123 ; dans l’impasse des Bourdonnais, dans la rue de Beaujolais et celle du faubourg Poissonnière, no 28.

En 1827, deux nouveaux établissements furent ouverts, le premier dans la rue de la Fidélité, près de l’église Saint- Laurent ; le second dans la rue Saint-Antoine.

Trois autres s’ouvrirent en 1828, dans la rue Saint-Martin, no 231, dans la rue de la Pépinière, et dans le passage du Saumon.

Il s’en forma aussi trois nouveaux en 1829, l’un dans la rue Mouffetard, l’autre dans le passage Brady, qui commu-