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MÉMOIRE
Sur les avantages d’un procédé opératoire particulier que nous avons imaginé au commencement de ce siècle pour la cure radicale de l’hydrocèle, suivi d’une notice sur une autre maladie analogue que nous désignerons sous le nom d’hydrocèle vésiculeuse ou hydatique.
Par M. LARREY ;
Lu à l’académie royale des sciences, le 3 octobre 1831,

Qquelque parfaite que soit une méthode qui a pour objet la guérison d’une maladie qu’on reconnaît être souvent rebelle à tous les moyens usités, on ne peut l’apprécier qu’autant qu’elle a reçu l’assentiment des corps savants, ou qu’une expérience consommée en a fait reconnaître tous les avantages. Dédaignant de me servir de ces moyens de publicité que des vues exclusives d’intérêt personnel font mettre journellement en usage, et n’ayant d’autre but que d’être utile à l’humanité, j’ai lieu d’espérer que l’Académie, à qui j’ai l’honneur de communiquer ce travail, voudra bien l’accueillir avec quelque intérêt, et en accorder l’insertion dans le Recueil des Mémoires de l’Institut. ¦