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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 17.djvu/222

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24 THÉORIE DES EFFETS MECANIQUES

l’expression dont il s’agit prendra la forme

SOUS laquelle il est facile de reconnaître, d’après la limitation des valeurs que peuvent recevoir ici les nombres /n, s et K : 1° que cette fraction demeurera toujours au-dessous de l’unité, de sorte que la valeur du rapport x, ou celle de la vitesse angulaire de la roue, ne saurait, non plus, devenir infinie par la condition du maximum d’effet, ainsi qu’il arrive pour les roues à réaction, à la classe desquelles, par conséquent, celle qui nous occupe ne saurait appartenir ; 2° que cette même fonction approchera d’autant plus de son

maximum, que le rapport s ou p- ; sera jîlus voisin de l’unité,

et que K, j et z ou a et ç seront eux-mêmes plus près de zéro ; 3° qu’enfin, si cette condition de K, a et ç, nuls ou

très-petits, était satisfaite, le rapport de- ==: — 5 devenant

’ '11 ~ ta„g (p

— 1, la fraction ci-dessus se réduirait sensiblement à la ciuantité I — in^ ; ce qui donnerait

%H — R" R" (. ’ "’ j — l ’ ^ — 2„, . — 2R’" r

toPt" OU v" =1/"^ = 0,7071 1/2^,

et indique que le maximum d’effet absolu serait atteint pour une vitesse de la circonférence intérieure de la roue, égale aux 0,7 environ de celle qui répond à la hauteur de la chute disponible H.

Dans la réalité, il est impossible de faire les angles a et ç nuls ou même très-petits, conditions dont la première tient