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DE LA TURBINE FOURNEYRON. 35

avoir été divisée par M^H, à un terme soustractif de la forme ^zi-a’ (2R’^ — R"0 a>' + 1 nJ " Z.’ (2R’= — R"0 a.’

5-cia’ (2Vi" — R’"^) M’ + jxAb’ (aR" — 11"=’) m’

lO.OVH >/ ^gH+o.’(R"-R"0 ’

qui compliquera beaucoup l’expression de cet effet, et dont on appréciera d’ailleurs l’influence avec une approximation suffisante, du moins dans le cas des grandes vitesses, en négligeant la partie qui a pour coefficient a, et qui devient alors très-petite vis-à-vis de l’autre, dont le facteur constant b’ pourra être pris égal à o, oo36 environ^ d’après les recherches de notre illustre confrère M. de Prony, sur les lois qui régissent le mouvement uniforme de l’eau dans les canaux. La perte proportionnelle ou relative de travail, occasionnée par la résistance du liquide dans lequel la roue est plongée, se réduira ainsi à l’expression

o, oii3i (aR’^ — R’") X’

dans laquelle on a substitué à xi et ^»’ leurs valeurs 3, i4i6 et o, oo36, et remplacé -. par /^.

En faisant l’application numérique de cette formule au cas déjà considéré de la turbine de Miilbach, on trouve que la perte dont il s’agit a pour valeurs respectives 0,121, à 101,5

5.