![{\displaystyle 2{\frac {\mathrm {L'} }{r^{'3}}}.cos.^{4}{\frac {1}{2}}\varepsilon '.\left\{{\begin{aligned}&cos.(2nt+2\omega -2m't)\\+&h.cos.(2nt+2\omega -2m't-lt+\delta ')\\-&h.cos.(2nt+2\omega -2m't+lt-\delta ')\end{aligned}}\right\}\,;}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/c7d79d6ed64f72e33e05fae841c0bedd9b398edf)
ce qui produit, dans l’expression de la hauteur de la mer, trois termes de la forme
![{\displaystyle {\begin{aligned}&a'.cos.(2nt-2m't-2\lambda ')\\+&a'h'.cos.(2nt-2m't-lt-2\lambda '')\\-&a'h''.cos.(2nt-2m't+lt-2\lambda ''').\qquad (i)\end{aligned}}}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/199f8a2e4d1dfeedac7d8eec933d4ef86ab3bf1d)
Il en résulte, par ce qui précède, dans l’expression du maximum de la marée, les trois termes
et
seraient égaux à
si l’action des astres n’était point accrue par la rapidité de leur mouvement. Mais on a vu précédemment que cette augmentation que nous avons désignée par
est
environ pour la lune ; d’où il suit que l’on a à-fort-peu-près, en supposant, comme nous l’avons fait, l’accroissement proportionnel au mouvement de l’astre dans son orbite,
![{\displaystyle {\begin{aligned}a'h'\;=&a'h+x.a'h.{\frac {l}{2m'}},\\a'h''=&a'h-x.a'h.{\frac {l}{2m'}},\end{aligned}}}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/d351760aa27ddbdf33e6be1307e492b4c8aad7b8)
et qu’ainsi les trois termes
![{\displaystyle a'+a'h'-a'h''}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/132efbdb20f90f5f2cb6a2e24ea2be1b699b22b8)
se réduisent à
![{\displaystyle a'+xa'h.{\frac {l}{m}}.}](https://wikimedia.org/api/rest_v1/media/math/render/svg/67aea524f6df0525c95cc3b9a7cb46fa76c46e2a)
Le second terme de cette quantité peut être négligé sans erreur sensible, relativement à l’argument de la variation.