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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 4.djvu/193

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CONCLUSION

« Nous pourrons, sans rien prononcer, applaudir aux recherches laborieuses, aux connaissances acquises qui fourniront des renseignements encore inaperçus. à la sagacité qui saura les rapprocher, pour les faire valoir les uns par les autres ; et par ces raisons, nous engagerons M. de Paravay à poursuivre son entreprise, à compléter les mémoires que nous avons lus, à les mettre dans un ordre plus méthodique ; à faire disparaître quelques aperçus trop hasardés, auxquels il ne met lui-même aucune importance, à rédiger les mémoires qu’il n’a fait encore que nous annoncer ; et, si ses recherches n’ajoutent rien à l’histoire mathématique de l’astronomie, elles ne seront pas sans intérêt pour ceux qui veulent s’instruire des mœurs des peuples, de leurs institutions, et de la partie, soit civile, soit même astrologique de leurs calendriers. »