Si l’on considère maintenant la différence
des ordonnées verticales de ces deux surfaces, comme l’ordonnée verticale d’une nouvelle surface, on aura pour l’équation de cette dernière,
etc.
et il est visible que cette troisième surface a aussi une nappe asymptotique, représentée par l’équation
On en tirera la même conséquence pour la surface dont l’équation serait
etc.
désignant la différence et le même raisonnement s’applique à tous les cas suivants. On voit par là que les surfaces représentées par les équations
sont indiquées par la nature même de la question. Elles se retrouvent dans tous les cas individuels, qui different par l’état de la première arète.