Aller au contenu

Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 4.djvu/729

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

de plus, lorsque le nombre est pair, il se trouve à la fin de chaque équation un terme dans lequel une des indéterminées disparaît d’elle-même, parce qu’elle y multiplie un sinus nul. Ainsi le nombre des inconnues qui entrent dans les équations est égal à lorsque le nombre est impair, et est égal à lorsque le nombre est pair : par conséquent le nombre des inconnues est le même dans tous les cas que le nombre des équations.

L’analyse précédente nous fournit, pour exprimer les valeurs générales des températures les équations :