Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/151

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P&RTiMrBBrï&iQUËU exlïij

premiers ;, p©ur chaque paire, des racines inférieures et supérieures, d^s ? commissures, des : ganglions d’origine et des trous de conjugaisons :’à cet effet, il est oblige de considérer cçmrne ne gisant qu’un© paire plusieuwbdb celles que les anatonjisttes traitent comme distinctes. La première paire est pour liai le ; nerf olfactif auquel il trouve toujours deux r, aeines.i La seconde se compose du nerf optique de Foculo-moteur et du pathétique elle a pour racines supérieures le pathétique, et celles des^ fibres de l’optique qui naissent des lobes optiques pour inférieures Foçulo-moteur et les fibre* de t’optique qui naissent derrière son entre-croisements J

C’est par des rapprochements semblables que M, Bailly réunit le neïf açqustique le facial le trijumeau et l’abducteur, en une troisième paire ;, l’hypoglosse, le pneumogastrique et l’accessoire, : en une quatrième.

Les ganglions ophtalmique, sphéno-p.aîatin, naso-palatin sont peu r les paires cérébrales ce que les ganglions du grand sympathique sont pour les ? paiEes rachidiennès ; et si les. nerfs du «îrâne sortent par plus d’un trou pour chaque paire, M.Bailîy feit reraaTquer qu’iL est ainsi pour les premières paires raehMiennes des raies.

Pe tous ces rapports, dé ee&tronçons de nioeïlë enveloppés chacun d’un, anneau vertébral et fournissait chacun en rayonnani : quatre ordres de racines nerveuses, il- arrive à un rapprochement înêmje entre les animaux rayonnes et zoophytes et tous les autres.

Quel que puisse être le mérite de ces. idées théoriques et dé ces hypothèses, où - ; l’oa remarque l’influence d’une métaphysique qili a eu pendant quelque temps une certaine