Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/394

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2O6 TH^ORIvE DES PHEN OMJENES 1 ’celles, de di’, exercerait sur chacun des élémentsde la petite courbe que nous avons déjà substituée ad.y, et par conséquent sur cette petite courbe elle-même. ’Ainsi la formule que nous avons trouvée exprime qu’un élément curviligne quelconque produit le même effet que la portion innniment petite de courant rectiligne terminée aux mêmes extrémités, quelles que soient d’ailleurs les valéurs des constar-tés n et h. L’expérience par laquelle on constate ce résultat ne peut donc servir en rien à déterminer ces constantes. Nous aurons alors recours aux deux autres cas d’équilibre dont nous avons déjà padé. Mais auparavant nous transformerons l’expression précédente de l’action de deux éléments de courants voltaïques en y introduisant les différentielles partielles, de la distance de ces deux éléments.

Soient x, y, z les coordonnées du premier pointa et ~, y’, z’ celles du second, il viendra

“ ~–~d.-e ~–df z-z’dz

r l’ ds r ds r d ~OS. x~ dx~ y~. y.’ d y’ -z -z’ d.z’ Ç05.a r ds +~ ds’t r ds~’

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