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260 THÉORIE DES PHiNOMÈîfES

en intégrant par rapport à.î il vient

dL

—au (s –b)jpds ;

et en appelant r’ et r" les distances M’L’, M’L" de M’ aux points L’, L", et intégrant entre ces limites l’action de LX", pour faire tourner l’élément M’, est

I A– AT

~aii’(s’-b-ds’ Cds, ds

2 d~ s’ d expression qu’il faut intégrer par rapport à s’. Or Z.)I ï.–~ b /"d 2 caii’ (s’-b)dTr,2aii

et il est d’ailleurs aisé devoir qu’en nommant c la valeur AL" de qui correspond à r", et qui est une constante dans l’intégration actuelle, on à AX"– l/V-i-c2, d’où il suit que r’ ~’+ ; rc1 ~s -1/~y’ -E-~ ? c, ’ot. ~rr-dsr.-y`~~ ~’°' d rainsi

A~, tang.

J r" – Jsin.p"– tang.4^"

le second terme s’intégrera de la même manière, et l’on aura enfin pour le moment de rotation cherché

i, Csa’-b-sI’-b—sz’-b s=’-b tang.â(32"tang. ; sl’ 2 à V r2" r/ v r, ’ + r/ taiig.^g/ tang. J’ Dans le cas où l’axe de rotation parallèle à la droite LX" ou s passe par le point d’intersection A’ des droites a et s on a b = o et si l’on suppose en outre, que le courant qui