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3l2 THÉORIE DES PHÉNOMÈNES.

constante et égale à 8, de l’autre tout le fluide répandu sur une autre aire égale à l’unité de surface, où l’épaisseur serait aussi constante et égalé à

En décomposant cette force parallèlement aux trois axes on a les trois composantes

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Concevons maintenant une nouvelle surface terminée par le même contour s qui limite la surface < ?> et telle que toutes les portions de normales de la surface comprises entre elle et la nouvelle.surface soient très-petites. Supposons que sur cette dernière surface soit distribué le fluide magnétique de l’espèce contraire à celui de la surface <s de manière qu’il y en ait sur la portion de la nouvelle surface circonscrite par les normales menées par tous les points du contour dé l’élément de surface d 2 une quantité égale à celle du fluide répandu sur à1 g. En nommant h la longueur de la petite portion de la normale à la surface g, menée par le point dont les coordonnées sont x, y, zr et comprise entre les deux surfaces, laquelle mesure dans toute l’étendue de l’aire infiniment petite da<7 la distance de ses points aux points correspondants de l’autre surface, et en désignant par’ 5, vi, K les angles que cette normale fait avec les axes, les trois composantes de l’action mutuelle entre l’élément d2 or’ et la petite portion de la nouvelle surface circonscrite comme nous venons de le dire, i qui est toujours égale à à2 s tarit que h est très -petit et qu’on néglige dans les calculs, comme nous le faisons ici, les puissances de h supérieures à la première s’obtiendront en remplaçant dans l’expression que nous venons de trou-