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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 7.djvu/444

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On peut remarquer que la quantité est elle-même une constante arbitraire ; ce qui tient à ce que exprime la somme des projections sur le plan perpendiculaire à l’axe du plus grand moment d’inertie des aires décrites pendant l’instant par toutes les molécules de sphéroïde, multipliées par leurs masses respectives.

(6) Il faut donc mettre ces valeurs de et et celles de et dans l’équation (5) pour en déduire les valeurs de relatives aux six constantes prises deux à deux. Mais quoique nous ayons tenu compte jusqu’ici des quantités du second ordre par rapport les différences partielles de etc. relatives à cette quantité, et par conséquent les valeurs de etc. qui en dépendent, ne seront exactes qu’aux quantités près de cet ordre exclusivement ; c’est pourquoi nous nous bornerons à ce degré d’approximation pour toutes les valeurs de c’est-à-dire, que nous rejeterons dans ces valeurs les termes dépendants du carré et des puissances supérieures de ce qui en rendra le calcul plus facile.

On trouve alors neuf de ces quantités égales à zéro, savoir,

et pour les autres, il vient