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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 7.djvu/461

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étant une constante dépendante de la différence d’aplatissement des deux hémisphères, qu’on devra supposer peu considérable par rapport à l’aplatissement moyen, et, par exemple, au-dessous d’un dix-millième. Faisons en outre

étant une quantité qui diffère peu de l’unité d’après l’observation. Si l’on forme les parties de relatives aux actions du soleil et de la lune ; que l’on élimine les masses et comme précédemment, et la masse au moyen de cette dernière équation, on aura

(13)

Cette valeur de suffira, en général, à l’objet que nous nous proposons ; elle ne contient, comme on voit, que des puissances impaires de et elle renfermerait des puissances semblables des autres coordonnées si l’on avait égard à la non-symétrie de la terre autour de son axe : nous donnerons plus bas un exemple du peu d’influence sur le mouvement de la terre, des termes de qui résulteraient de cette considération.

(14) La valeur la plus générale de est de la forme :

étant cinq coëfficients constants. En la substituant dans l’équation (12), on en conclura en premier lieu