ce qui provient de ce que les droites d’où les angles et sont comptés, sont des axes principaux. Si l’on exprime ensuite les intégrales que cette équation renferme, au moyen des moments d’inertie (no 5), on trouvera qu’elle peut s’écrire ainsi :
Elle se décomposera donc en deux autres, savoir :
L’aplatissement d’un méridien quelconque, résultant de la valeur de sera exprimé par D’après les observations du pendule, il est sensiblement le même pour tous les méridiens ; il faut donc que soit très-petit par rapport à et aussi par rapport à parce que n’est pas le tiers de par conséquent la différence est très-petite relativement à et aussi à l’égard de chacune des différences et
La dernière équation, mise sous la forme
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(14)
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au moyen de la valeur de du no précédent, nous sera utile dans la suite de ce Mémoire.
(15) Cela posé, si nous désignons par les trois coordonnées rectangulaires du centre du soleil, relatives à des axes menés par le centre de la terre suivant des directions fixes ; que nous prenions pour celui des la droite d’où l’on compte l’angle et pour celui de la droite per-