pour cette raison, il est bon de l’introduire dans la formule précédente à la place de l’inclinaison sur l’écliptique fixe. Or en la désignant par et négligeant les quantités du troisième ordre par rapport à et on aura
En effet, prenons dans le plan de l’orbite lunaire, un point dont la distance au soleil soit l’unité ; et représentons par sa longitude sur l’écliptique fixe. Ses distances à ce plan et à l’écliptique mobile seront exprimées par et au degré d’approximation où nous nous arrêtons ; de plus la partie de la première distance, interceptée entre les deux écliptiques, aura pour valeur et enfin, cette partie pourra être considérée comme l’excès de la première distance sur la seconde. On aura donc
quel que soit et en y faisant successivement et égal à un angle droit, il en résultera les deux équations précédentes.
Par leur moyen, et en négligeant le produit la valeur de deviendra définitivement
et en la substituant dans les équations (15), nous aurons