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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 7.djvu/794

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lois de la nature, par le secours duquel nous voyons au-delà des périodicités les plus longues et en apparence les plus parfaites de notre système solaire, qui paraît dominer l’univers jusque dans ses moindres parties, qui modifie incessamment toutes choses, qui les altère ou les déplace insensiblement et sans retour, et qui les entraîne, à travers l’immensité des siècles, à des fins nouvelles que l’intelligence humaine ne saurait assurément pénétrer, mais dont elle pourrait du moins s’enorgueillir d’avoir pressenti la nécessité.