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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 8.djvu/279

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Latitude de la station de New-York
Latitude de la station de Barcelone
à cette latitude


Réduction à la latitude de New-York : conclue
    Longueur observée du pendule à Barcelone
––––––––––––––
    Longueur du pendule à New-York : conclue
                                                  Observée
––––––––––––––
Excès d’intensité sur le méridien d’Unst et de Barcelone


Latitude de la la station de la Jamaïque
Latitude de la station de St.-Thomas
à cette station


Réduction à la latitude de la Jamaïque : conclue
Longueur observée du pendule à St-Thomas
––––––––––––––
Longueur du pendule à la Jamaïque : conclue
                                                  Observée
––––––––––––––
Excès d’intensité sur le méridien d’Unst et de St-Thomas

On voit que l’intensité de la pesanteur à New-York se trouve un peu moindre qu’à Barcelone ; mais à la Jamaïque elle est beaucoup plus faible qu’à Saint-Thomas : c’est ce qui raccourcit comparativement le pendule équatorial sur le méridien de New-York et de la Jamaïque. En général, la discussion des expériences voisines de l’équateur nous prouvera bientôt qu’il existe à Saint-Thomas une anomalie locale qui y donne un pendule trop long

Les expériences actuelles n’offrent plus que deux autres stations qui soient situées sensiblement à une même longitude : ce sont celles du Groenland et de Sierra-Leone, où le ca-