sultat. Le calcul est à peu près de même longueur de part et d’autre ; la seconde méthode, offre seulement cet. avantage, que l’on aperçoit plus promptement les combinaisons que l’on peut faire, et sans aucun calcul préalable on arrive tout de suite au reste, et l’on voit à l’instant ce que l’on en peut faire ; enfin le calcul des quantités d’oxides ne vient que quand tout est parfaitement ordonné. Nous verrons plus loin d’autres avantages qui doivent, eu général, faire donner la préférence à la seconde méthode.
Il parait que ce cas de discussion se présentera assez fréquemment dans la nature ; déjà plusieurs de nos analyses s’y rapportent, et il est probable qu’il en sera de même par la suite pour beaucoup d’autres. Le calcul qui y est applicable est du même genre que celui que nous venons d’employer ; seulement il faut commencer par diviser l’analyse, comme nous allons l’indiquer, en se laissant guider par les renseignements que l’on a pu se procurer.
L’analyse no 1 nous a offert