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Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 8.djvu/659

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celles que nous avons trouvées pour l’équilibre, les forces par

étant l’élément du temps pris pour la différentielle constante, ce qui aura lieu dans toute la suite de ce Mémoire sans qu’on soit obligé de le répéter. Les inconnues seront alors des fonctions de et qui exprimeront au bout du temps les déplacements très-petits parallèlement aux axes des du point dont la position dans l’état naturel du corps répond aux coordonnées leurs différences partielles exprimeront au même instant, les composantes de la vitesse de ce point, suivant les mêmes directions.

Je substitue, en outre, dans les équations (3) à la place de etc., leurs valeurs, et je suppose le corps homogène ; en observant que il vient

(6)

étant un coefficient constant, égal à Ces équations ont la même forme que celles qui ont été données par M. Navier[1], et qu’il a obtenues en partant de l’hypothèse que

  1. Tome VII de ces Mémoires.